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  1. Edition 2022

Gouvernance des plateformes territoriales

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Dernière mise à jour il y a 2 ans

Avec plus de 250 plateformes territoriales de publication des données, le paysage open data est encore assez dispersé bien que la croissance du nombre de plateforme ne suive pas celles des collectivités. Cela veut dire que la tendance à la mutualisaton se renforce même si elle est encore insuffisante.

La majoirité des collectivités choisissent ainsi de publier leurs données en propre ou avec une autre collectivité proche (commune + intercommunalité par exemple) dans 72% de cas.

Si l'on peut comprendre les intentions qui mènent une collectivité à opérer en propre un portail (autonomie technique, rapidité de mise en oeuvre, besoins fonctionnels adaptés et couverts, contraintes budgétaires, visibilité politique et ligne éditoriale), le choix d'un portail attaché à une collectivité pose la question de son référencement et de la découvrabilité des données. La technologie sous-jacente de la plateforme engendre aussi des conditions opérationnelles de réutilisation qui peuvent varier fortement d'une collectivité à une autre (par exemple les métadonnées ou le mode d'appel d'une API), ce qui rend plus difficile l'exploitation et la réutilisation des données.

Près d'un quart des plateformes sont cependant mutualisées au niveau territorial, avec ou sans partenariat avec les services de l'Etat. Cette démarche est de loin la plus vertueuse en terme de réutilisation (F.A.I.R.), elle progresse au fil du temps et caractérise la lente structuration des territoires. Il s'agit généralement du positionnement de collectivités de haut niveau (région, département, métropole ou Structure de Mutualisation Informatique) comme "Animateur Territorial de la Donnée" proposant une offre mutualisée d'hébergement de données à l'échelle territoriale.