Ne pas rater le coche tout en prenant d'extrêmes précautions. L'utilisation par les collectivités de l'intelligence artificielle (IA) soulève de nombreuses problématiques. A l'occasion de leur assemblée générale, les directeurs des centres de gestion (ANDCDG) les ont abordées tandis que le ministre Stanislas Guerini annonçait, dans le même temps, le lancement d'une expérimentation dans les services de l'État.

Cela fait maintenant plus de deux ans que l’Union européenne travaille sur l’IA Act, son projet de réglementation de l’intelligence artificielle (IA). Voici ce qu’il faut en retenir.

Cette nouvelle solution permettra d'encourager les collectivités, à la fois à développer les énergies renouvelables, mais aussi à répondre aux débats sur l'artificialisation des sols.

Comment favoriser le développement d’IA ouvertes, responsables et souveraines en organisant un accès à de larges jeux de données tout en protégeant les intérêts individuels et la sécurité collective ?

Coordinateur : Eric Brousseau, Professeur d’économie et de management, directeur de la Chaire Gouvernance et régulation, Université Paris Dauphine - PSL

• Adrien Basdevant, Avocat & Conseil national du numérique - CNNum

• Emmanuel Didier, CNRS & Institut Santé Numérique en Société - ISNS

• Betrand Pailhes, Directeur de la technologie et de l’innovation - CNIL

• Camilla Penzo, PEReN, Pôle d’Expertise de la Régulation Numérique

• Benoit Sagot, Directeur de recherche INRIA, ALMAnaCH, PRAIRIE

L'IA générative continue de transformer la manière dont les équipes d'ingénierie, marketing, data et produit construisent les produits numériques, avec comme fer de lance : l'excellence de l'UX.

L’accélération de la transformation digitale et l’intelligence artificielle (IA) bouleversent la manière dont les utilisateurs interagissent avec les produits numériques (applications, sites web, etc.), les autres utilisateurs et les entreprises elles-mêmes. Nous sommes entrés dans l’ère des « produits intelligents » où l’IA n’est plus seulement une fonctionnalité mais une partie intégrante du produit. Ainsi, pour les entreprises du numérique, l’IA représente une formidable opportunité d’approfondir la connaissance de leurs clients et d’améliorer l’expérience digitale grâce aux données comportementales fournies par les différents canaux numériques. En outre, l’IA constitue un outil redoutablement efficace pour optimiser l’efficacité et la productivité des équipes ingénierie et produit, et ce, tout au long du cycle de vie des produits. Retour sur ses principaux atouts.

La CNIL publie ses premières fiches pratiques sur la constitution de bases de données d’apprentissage des systèmes d’intelligence artificielle. Ces fiches doivent aider les professionnels à concilier innovation et respect des droits des personnes. Elles sont soumises à consultation publique jusqu’au 16 novembre 2023.

Les directeurs des systèmes d'information (DSI) ont la fibre de l'innovation, mais leurs budgets ne suivent pas toujours. Les services numériques dans le cloud pourraient les aider.

Lancé le 13 juillet 2022, l’appel à projets “Démonstrateurs d’IA frugale au service la transition écologique dans les territoires ”(DIAT) est doté d’un budget de 40 millions d’euros réparti sur 5 ans au travers de 3 vagues successives. La seconde, annoncée fin mars dernier par Jean-Noël Barrot, Ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications, prendra fin le 1er décembre 2023 prochain.

https://www.actuia.com/actualite/france-2030-les-inscriptions-pour-la-seconde-vague-de-laap-diat-sont-toujours-ouvertes/

La Première ministre a installé, le 19 septembre au soir, une commission d’experts chargés de se pencher sur le potentiel – mais aussi les risques – de l’intelligence artificielle générative pour la société française. Y compris pour le service public, où ses usages sont déjà foisonnants.

Technologie : Dans le secteur extrêmement concurrentiel de l'IA, l'open source est-il condamné à être la bonne fille, utilisée à souhait mais jamais récompensée ? retour sur une idée erronnée..

enjamin Branget, chargé de cours à l’université de Québec, s’intéresse particulièrement aux équipements de loisirs de proximité : leur planification, leur conception, leur gestion. Et aux enjeux d’innovation, dont l’intelligence artificielle (IA), qui « s’immisce dans toutes les sphères de la société ». Centré sur les sciences sociales, il travaille la chose pour une approche « vraiment orientée service public », appuie-t-il.

http://www.lagazettedescommunes.com/885402/lia-peut-optimiser-la-gestion-dun-equipement-benjamin-branget-charge-de-cours-a-luniversite-de-quebec/

Brad Smith, président de la firme de Redmond, a promis d'assumer toute responsabilité légale si les outils d'intelligence artificielle générative de son entreprise venaient à mettre ses clients professionnels dans l'embarras pour violation des lois sur le copyright.

L'association Hub France IA a identifié 13 profils métiers de l’IA actuels et émergents pour lesquels elle cherche à quantifier les besoins des entreprises françaises de toutes tailles et tous secteurs confondus sur :

• Les besoins par profil métier à horizon 2024 et 2030

• Le niveau de formation requis pour chaque profil métier

🚀 Il vous suffira de moins de 10 minutes pour répondre à l’enquête accessible ici : https://lnkd.in/eW_epqdR

💡Opération soutenue par l’État dans le cadre du programme « Compétences et Métiers d’Avenir » du Programme d’Investissement d’Avenir, opéré par le Groupe Caisse des Dépôts

Un très bon site de veille et d'analyse

Cette structure vise à encadrer la mise en œuvre de la stratégie nationale sur l’intelligence artificielle (IA) en veillant au respect des règles de transparence et de respect de la vie privée. Sa création entre dans le cadre d’un nouveau règlement européen qui oblige les États membres à se doter d’autorités nationales de contrôle de l’usage de l’IA.